Type | SUJET |
Collection | Gaumont (Journal Eclair) Journal Actualité |
Duration | 00:02:41 |
Col. sound | NB Sound |
6644EJ 64734
Title : ABERFAN DISASTER. SCHOOL BURIED UNDER DUMP. SMALL POSTER. THE ABERFAN DISASTER. THE ABERFAN TRAGEDY
First distribution : 26/10/1966
ABERFAN disaster. School buried under Dump. SMALL POSTER. The ABERFAN disaster. The ABERFAN tragedy where the moving Spoil heap buried almost two hundred children. A genuine human anthill, a whole village to the help of its children, without hope or almost, in a quiet and desperate fight against the watch, such are the small Welsh ABERFAN village after the drama of the moving spoil heap. A mountain of more than 100 m. De top. A slag and mining waste mountain, of more than one hundred metres high, solidified for years to the limit of the village, exactly above the school. And then a morning, after days and days of rain, the spoil heap slips... Slightly only, and it covers the school in a few seconds, and all the village seeks, seeks, and finds, one, then five, then ten corpses, and there remain more than one hundred others, below. All, or almost, of the month children of ten-year, that their comrades saved seek too. Too much near the village. The night come, the more 12.eures after the disaster, one always digs, fear précautionneusement to complete a wounded, to wound a live. It seems that the spoil heap will never finish some returning its victims. The come day, any lost hope, the assessment are done while responsibilities seek themselves. Almost 200 children died to ABERFAN, in the GAlles Country, because a spoil heap slipped, that it was too much near the village, too much near the school. And that one did not hear those which, had for a long time been giving the warning by saying that the slag mountain, too fragile, would not resist rains.
Catastrophe d'ABERFAN. Ecole ensevelie sous Crassier AFFICHETTE : La catastrophe d'ABERFAN. La tragédie d'ABERFAN où le Terril mouvant a enseveli près de deux cent enfants. Une véritable fourmilière humaine, tout un village au secours de ses enfants, sans espoir ou presque, dans une lutte silencieuse et désespérée contre la montre, tel est le petit village Gallois d'ABERFAN après le drame du terril mouvant. Une montagne de plus de 100 m de haut. Une montagne de scories et de déchets miniers, de plus de cent mètres de haut, figée depuis des années à la limite du village, juste au dessus de l'école. Et puis un matin, après des jours et des jours de pluie, le terril glisse... un peu seulement, et il recouvre l'école en quelques secondes, et tout le village cherche, cherche, et trouve, un, puis cinq, puis dix cadavres, et il en reste plus de cent autres, en dessous. Tous, ou presque, des enfants de mois de dix ans, que leurs camarades épargnés cherchent aussi. Trop près du village. La nuit venue, plus de 12heures après la catastrophe, on creuse toujours, précautionneusement de peur d'achever un blessé, de blesser un vivant. Il semble que le terril n'en finira jamais de rendre ses victimes. Le jour venu, tout espoir perdu, le bilan se fait tandis que les responsabilités se recherchent. Près de 200 enfants sont morts à ABERFAN, dans le Pays de GAlles, parce q'un terril a glissé, qu'il était trop près du village, trop près de l'école. Et que l'on n'a pas entendu ceux qui, depuis longtemps donnaient l'alerte en disant que la montagne de scories, trop fragile, ne résisterait pas aux pluies.